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L’Uritrottoir MAXI : quand l’urinoir urbain passe en mode grand volume

Uritrottoir Maxi installé dans une rue, équipé de deux pare-vues latéraux pour plus d’intimité, discret et compact

Quand Toulouse Métropole lance un défi, nous ne répondons pas dans la demi-mesure.
La mission était claire : concevoir un urinoir urbain compact capable d’offrir le plus grand volume de collecte d’urine possible. Un objectif ambitieux, à la croisée du design, de l’ingénierie et de l’innovation environnementale.

Challenge relevé… et appel d’offre remporté
Le résultat : l’Uritrottoir MAXI, une nouvelle génération d’équipement urbain, désormais prête à faire son entrée dans les rues toulousaines.

Un concentré de performance dans un format compact

L’Uritrottoir MAXI a été pensé pour conjuguer discrétion, efficacité et robustesse, tout en répondant aux fortes contraintes de l’espace public.

Ses principales caractéristiques :

  • 220 litres d’urine à la pesée
  • Jusqu’à 440 litres de capacité totale grâce à des réservoirs connectés, en configuration côte-à-côte ou dos-à-dos
  • Avec ou sans pare-vues, selon les usages et les contextes d’implantation
  • Deux approches esthétiques :
    • des couleurs intégrées au mobilier urbain existant
    • ou des teintes vives, pour une visibilité immédiate à distance
  • Double pente sommitale anti-dépôt, empêchant toute accumulation d’objets ou de déchets
  • Sondes communicantes permettant de suivre à distance le niveau de remplissage des équipements

Un design fonctionnel, pensé pour l’espace public réel, ses usages… et ses contraintes.

De la collecte à la valorisation : donner un sens à chaque goutte

Au-delà de la performance technique, l’Uritrottoir MAXI s’inscrit dans une logique d’économie circulaire.
L’urine est naturellement riche en azote et en phosphore, des ressources précieuses pour l’agriculture.

Collecter, stocker, puis valoriser l’urine en fertilisant devient ainsi une évidence environnementale.
Un geste simple, mais un impact concret.

Un déploiement dès février à Toulouse

L’Uritrottoir MAXI est actuellement en production.
Les premières installations sont prévues dès février 2026 dans les rues de Toulouse.

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Pas de toit, pas de robinet… comment arroser un jardin partagé ?

Cuves IBC installées en série avec toitures en acier galvanisé pour la collecte d’eau de pluie, entourées d’un jardin et de bacs de récupération.

Un toit pour collecter l’eau pour arroser les jardins partagés est aujourd’hui une solution pratique lorsque l’accès au réseau d’eau est impossible. À Rennes, l’association Vivre à Beauregard a choisi une installation simple et efficace pour assurer l’arrosage de son jardin partagé.

Grâce à ce système, le jardin est désormais autonome en eau. Il peut ainsi fonctionner sans raccordement au réseau public.


Pourquoi récupérer l’eau de pluie dans un jardin partagé ?

Sans accès à l’eau courante, l’arrosage devient vite un frein au développement du jardin. Pourtant, la pluie offre une ressource gratuite, locale et renouvelable.

En récupérant l’eau de pluie, les jardiniers peuvent :

  • arroser sans gaspiller l’eau potable,
  • réduire les coûts,
  • sécuriser l’arrosage en période sèche,
  • et adopter une démarche écologique.

Ainsi, un toit pour collecter l’eau pour arroser les jardins partagés devient un outil clé pour garantir la continuité des cultures.


Une installation simple et efficace à Rennes

Sur la Promenade Pierre Roland Giot, l’association a installé trois cuves IBC reliées en série. Elles sont surmontées de deux toitures Rosiluv en acier galvanisé.

Ces toits captent directement l’eau de pluie. Ensuite, l’eau s’écoule dans les cuves et se stocke naturellement. Le volume obtenu couvre l’ensemble des besoins d’arrosage du jardin sur la saison.

De plus, l’installation reste robuste, facile à entretenir et rapide à mettre en place.


Quels sont les bénéfices concrets pour le jardin ?

Grâce à ce dispositif, le jardin partagé bénéficie :

  • d’une autonomie complète en eau,
  • d’une meilleure gestion des ressources,
  • d’une réduction de l’empreinte écologique,
  • et d’un confort d’arrosage pour les bénévoles.

En parallèle, cette solution renforce l’engagement écologique du projet. Elle montre aussi qu’il est possible d’agir localement, avec des moyens simples.


Une solution inspirante pour d’autres projets

Aujourd’hui, un toit pour collecter l’eau pour arroser les jardins partagés peut s’installer partout : dans un quartier, une école, une friche urbaine ou un jardin associatif.

Ce projet rennais prouve qu’avec quelques cuves, un système de récupération d’eau de pluie et une bonne organisation collective, un jardin peut devenir totalement autonome.

👉 Une initiative inspirante à découvrir sur place !

Un équipement conçu par Faltazi pour Rennes Métropole

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EKOVORE au Forum des rencontres annuelles Adapataville

Rencontres annuelles Adaptaville | Agence Parisienne du Climat

Le lundi 14 octobre prochain, nous serons présents au Pavillon de l’Arsenal à Paris à l’occasion du Forum des Rencontres Adaptaville. À cette occasion, nous présenterons nos équipements EKOVORE, conçus pour accompagner la transition écologique.

L’accent sera mis sur nos solutions de collecte d’eau pluviale :

Ce sera également l’opportunité de discuter de nos urinoirs sans eau NPK, homme et femme, ainsi que de nos composteurs modulaires, spécialement conçus pour les copropriétés.

Nous vous invitons à noter cette date dans vos agendas :

Lundi 14 octobre, de 14h à 18h, au Pavillon de l’Arsenal.

Plus d’informations sur : Adaptaville.

Panoplie EKOVORE
Panoplie EKOVORE des équipements destinés à la transition écologique
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L’uritonnoir | L’urinoir malin

Uritonnoirs installés aux USA avec pare-vues et sous une tente


L’urine est une thématique qui captive !
Au lancement de l’Uritonnoir, nous avons bénéficié d’un bel article dans le GUARDIAN :

“L’Uritonnoir: the straw bale urinal that makes compost from ‘liquid gold' ».

Pour accompagner son usage, nous avons préparé deux supports essentiels : une notice de montage et un mode d’emploi


Notice de montage

L’objet s’expédie à plat et nécessite l’assemblage de deux pièces une fois livré.
Un tuto détaillé est désormais en ligne pour guider l’utilisateur pas à pas.


Mode d’emploi

Ce guide permet de comprendre le fonctionnement de ce nouvel outil un peu exotique.
L’association paille + urine (carbone + azote) permet de générer du fumain (fumier humain).
L’Uritonnoir est conçu dans un matériau résistant aux UV et au gel, ce qui lui permet de rester à l’extérieur.
Il est lavable et peut s’empiler facilement pour le stockage.


Observations sur les usages

1. Popularité en Europe

L’Uritonnoir est particulièrement plébiscité en Europe, surtout dans le nord.
Peut-être une question de culture… ou de bière ? Mystère.

2. Diversité des installations

Les photos reçues montrent différentes configurations :

  • Pudeur : bottes de paille agencées astucieusement
  • Adaptation aux publics : ajustement de la hauteur pour enfants, ajout de pare-vues pour femmes
  • Accessoirisation : poubelles, support pour poser sa boisson
  • Détournement d’usage : utilisation directe dans des andains de compost pour activer la transformation

3. Matière sèche utilisée

Le choix de la matière varie selon les disponibilités locales :

  • Paille : recommandée, issue des cultures céréalières, 20€ la balle de 300 kg
  • Foin : plus absorbant mais coûteux, moins pertinent car destiné au bétail
  • Autres fibres : en Nouvelle-Zélande, la nature exacte des bottes reste inconnue

Les atouts de l’Uritonnoir

Après plus de dix ans d’existence, l’Uritonnoir reste l’urinoir le plus léger et le moins cher du marché :

  • 400 grammes seulement
  • Prix imbattable 💥
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L’uritonnoir | Le TEST

Pisseur d'uritonnoir au Hellfest

Nous savons que l’Uritonnoir fonctionne parfaitement en fond de jardin, mais il restait à tester la capacité d’absorption des bottes de paille sur un public plus conséquent.

Quel festival pour notre test ?

Nous avons rapidement pensé à un événement près de Nantes : le Hellfest ! 😈
Petit coup de fil au KING de la logistique, toujours à la recherche de solutions sanitaires innovantes, et c’est parti pour un test grandeur nature.

Il nous propose d’installer neuf balles de paille rondes, chacune équipée de 3 Uritonnoirs.
Au total, 27 Uritonnoirs au centre du White Camp Hellfest, où 30 000 festivaliers viennent planter leurs tentes.

Une petite équipe d’observation s’organise. Comme tous designers consciencieux, nous plantons également nos tentes à une extrémité des balles de paille, munis de compteurs manuels.

Premiers jours de test

Le festival ouvre ses portes et l’expérience commence !

Très vite, les festivaliers abandonnent les gobelets de 25 cl pour adopter des pichets d’1,5 litre. 🍺🍺🍺🍺🍺
Un vrai tsunami d’urine en perspective !

Heureusement, des solutions sanitaires complémentaires sont en place. La première journée se déroule calmement. Les vagues de festivaliers se succèdent, posent leurs pichets sur les bottes de paille et vidangent leurs vessies à un rythme effréné.

La troisième journée est plus compliquée. Un changement de balle aurait été utile, mais sur un festival aussi fréquenté, les véhicules de manutention sont proscrits pour des raisons de sécurité.
C’est ce qu’on peut appeler un crash-test grandeur nature d’une fonction technique !

La petite victoire ? Entendre les festivaliers s’exclamer :

“Ah ! Mais c’est pour faire du fumier… malin !” 🪱
À ce moment, nous savons que l’Uritonnoir véhicule bien le message essentiel.

Bilan du test

Grâce à cette expérience, nous pouvons maintenant dimensionner correctement le nombre d’Uritonnoirs en fonction du nombre d’usagers.

L’Uritonnoir répond avec grande efficacité pour les contextes suivants :

  • Micro-festivals avec peu de moyens pour louer des sanitaires
  • Fêtes agricoles (paille facilement accessible)
  • Classes vertes, scoutisme et camps Nature
  • Événements sportifs (trails, courses à pied)
  • Fêtes familiales et anniversaires
  • Événements d’entreprise
  • Campings et gîtes à la ferme
  • Sites d’accrobranche et via ferrata
  • Parcs aventures
  • Et bien sûr, tous les fonds de jardin

Ainsi, l’urine peut être récoltée et valorisée in situ comme engrais, par exemple pour les tomates 🍅.

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L’uritonnoir | Genèse

Uritonnoir installé sur balle de paille au fond d'un jardin

Planter un urinoir dans une botte de paille… Quelle drôle d’idée !

Au Center for Alternativ Technology à Pantperthog au Pays de Galles, les visiteurs sont invités à uriner sur des bottes de paille ! 

Une invitation à associer deux déchets communs :
👉 l’urine (de l’azote)
👉 la paille (du carbone)

Un objectif : Fabriquer du fumier et plus précisément du fumain (fumier humain). Un amendement gratuit pour le jardin-potager !

Première observation, uriner sur une botte de paille peut entraîner quelques désagréments… des éclaboussures en retour par un jet d’urine mal accueilli.

Les idées fusent…

Et si nous urinions directement dans des urinoirs fabriqués en paille… c’est-à-dire, agglomérer ce déchet céréalier pour en faire un objet ! Fabriquer un moule et produire des pièces. Seulement imprégnées d’urine, elles se dégraderont irrémédiablement…

Et puis…trop énergivore à fabriquer, à transporter… Une ACV (Analyse du Cycle de Vie) pas vraiment optimisée !

Autre solution : Et si nous plantions tout simplement un entonnoir au cœur d’une botte de paille ? Un urinoir/entonnoir… un URITONNOIR ! 💡

Les premières silhouettes sont esquissées. Le choix du matériau semble stratégique.

Un objet lié à l’environnement … donc forcément biodégradable… en amidon de maïs par exemple pour être compostable ? Nouvelle impasse côté ACV.

La limite des matériaux biodégradables… en contact avec l’urine. L’urinoir deviendra, par défaut, JETABLE. Il nécessitera une quantité d’énergie et de matière pour le produire et le produire et le produire à nouveau…

Cet ustensile DOIT ÊTRE RÉUTILISABLE donc pensons “DURABLE”.

En INOX ?… Trop lourd pour se maintenir dans la paille !

Fabriquons-le dans le même matériau que les écocups, ces gobelets consignés communément croisés sur les festivals. Donc en plastique. Il existe des contextes où ce matériau à une réelle pertinence. Le choix s’oriente sur le PP, le polypropylène, un plastique recyclable.

Et comme l’urinoir a pour vocation d’être utilisé à l’extérieur, protégeons-le des UV et du GEL.

Une des principales difficultés en éco-conception consiste à identifier le JUSTE matériau.

Contrairement aux écocups, que l’on accumule chez soi (la consigne appliquée n’étant toujours pas suffisamment élevée, 1€…), personne ne quittera un festival avec un urinoir sous le bras…

Ainsi naît l’uritonnoir !

Un petit objet très accessible, découpé dans une feuille de PP, expédié à plat et à monter soi-même.

Un petit objet qui raconte une histoire toute simple :

Cessez de disperser vos urines à tout vent !
Préférez-la concentrer dans une botte de paille.
Et ainsi, valorisez-la en engrais pour votre jardin-potage
r !

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Des composteurs collectifs modulaires !

Composteur collectif modulaire Ekovore installé dans une cours d'immeuble en copropriété | Ce composteur est composé de 3 modules de 550L|110 et d'un module de 275L|110

Combinés entre eux, les composteurs individuels Ekovore deviennent des composteurs collectifs.

Des solutions idéales pour les espaces partagés comme les cours d’immeubles en copropriété, les établissements collectifs ou les restaurants.

Avec des modèles allant de 275L à 800L et des hauteurs variant de 1,10m à 1,55m, les combinaisons pour obtenir des composteurs collectifs sont multiples !

Chaque composteur peut fonctionner de manière autonome et répondre efficacement aux besoins de compostage d’un jardin en traitant les biodéchets d’un foyer.

En les organisant en systèmes, ces composteurs individuels deviennent de véritables stations de compostage capables de répondre aux dépôts de biodéchets  entre 10 et 30 foyers, selon la configuration.

Le processus de compostage se déroule de manière séquentielle à travers les différentes cellules.
Le premier module est destiné à la collecte des biodéchets, le second à la première phase de maturation, et le troisième à la seconde phase.

Ces étapes sont cruciales pour produire un compost de haute qualité.

Ce système est rendu possible grâce à une approche en conception modulaire.

Les avantages sont multiples :

• Elle offre une solution flexible et évolutive. Si de nouveaux habitants souhaitent se joindre au compostage collectif, il suffit d’ajouter de nouveaux modules pour augmenter la capacité de collecte des biodéchets.

• Elle optimise l’industrialisation en calculant avec précision les volumes de matériaux nécessaires et obtenir des équipements robustes.

• Elle simplifie la maintenance des composteurs.

• Elle permet de répondre à différents contextes, que ce soit pour le compostage individuel ou collectif.

En combinant tous ces avantages, la conception modulaire favorise l’éco-conception en développant des systèmes plus solides, flexibles et évolutifs.

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L’innovation : la table d’ensemencement !

Composteur urbain collectif installé dans le quartier Malakoff à Nantes.

Fruit de l’expérience du compostage collectif en pied d’immeuble.

Nous célèbrons cette année les 10 ans du composteur collectif Ekovore.

Un composteur collectif sous forme de mobilier urbain qui a pris place sur un trottoir du quartier Malakoff à Nantes.

Le secret de l’efficacité de ce composteur réside dans sa table d’ensemencement, localisée à sa base. Cette zone protégée héberge tous les micro-organismes nécessaires à la transformation des biodéchets en compost. Les résultats parlent d’eux-mêmes, avec 5 tonnes de biodéchets transformés en 1,5 tonne de compost chaque année.

Ekovore innove et intègre cette précieuse table d’ensemencement dans des composteurs individuels de taille plus réduite.

Cette table d’ensemencement permet de surélever le composteur sur des pieds, facilitant ainsi l’accès au compost et simplifiant les gestes de vidage ou de retournement. Cette approche offre confort, facilité d’utilisation et sécurité, notamment en protégeant le compost des nuisibles tels que les rats.

CONFORT, FACILITÉ et SIMPLICITÉ !

Une gamme de composteurs conçue par le Studio Faltazi pour Ekovore.

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Uritrottoir MIXT

Uritrottoir MIXT | L'uritrottoir mixt est un uritrottoir cabine inclusif qui propose un urinoir féminin et un urinoir masculin

L’uritrottoir MIXT est une toilette sèche publique qui propose un urinoir pour femme et pour homme.
Il répond aux exigences du public en matière de genre, pudeur et sécurité.

GENRE
L’uritrottoir offre une solution inclusive avec urinoir féminin et un urinoir masculin.

PUDEUR
Une cabine globale, séparée en deux par un local technique, assure la pudeur pour les deux sexes.

SÉCURITÉ
La cabine femme est verrouillable, une solution sécurisante qui permet une utilisation à toute heure de la journée.

CONFORT
Côté femme, la cabine est dotée d’un distributeur de protections périodiques et papier toilette. Les deux cabines disposent de poubelles et de gel hydroalcoolique pour assurer un service optimal.

HYGIÈNE & ROBUSTESSE
L’uritrottoir MIXT est entièrement conçu en acier inoxydable.

FONCTIONNEMENT EN AUTONOMIE OU CONNECTÉ À L’ASSAINISSEMENT
Il peut être connecté au réseau d’assainissement ou fonctionner de manière autonome grâce à son réservoir de 400 litres. L’urine recueillie, une fois pompée, peut être valorisée comme fertilisant pour l’agriculture. Ces deux modes de fonctionnement sont réversibles.

MAINTENANCE FACILITÉE
Des portes latérales de maintenance permettent d’accéder à une seule zone technique. Cette zone permet de pomper l’urine et d’accéder aux supports de recharge des consommables tels que le papier toilette, le gel hydroalcoolique et les protections périodiques.

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Rosiluv aux pépinières de la Ville de Bruxelles

Rosiluv est installé au sein des pépinières de la Ville de Bruxelles pour l'irrigation au goutte à goutte des pépinières

Les pépinières de la Ville de Bruxelles s’équipent de Rosiluv pour collecter l’eau de pluie💧en toute autonomie pour les cuves de 1000 litres. Ces cuves sont connectées au réseau d’irrigation pour alimenter en goute à goutte 💦 les pépinières. 🌳

Mais attention ! Les Rosiluv poussent également dans :

⁃ les jardins potagers
⁃ les jardins partagés
⁃ les friches urbaines
⁃ les jardins familiaux