Ekovore a à cœur de proposer des objets simples, utiles et porteurs de sens. Des solutions sobres et bien pensées, conçues pour adapter nos usages aux enjeux écologiques d’aujourd’hui.
L’Uritonnoir, conçu par le studio de design Faltazi, s’inscrit pleinement dans cette démarche. Discret et low-tech, il transforme un geste quotidien en véritable ressource pour le jardin.
L’urine : un engrais naturel largement sous-estimé
Chaque jour, nous produisons de l’urine. Pourtant, ce liquide est riche en nutriments essentiels à la fertilité des sols :
- Azote (N)
- Phosphore (P)
- Potassium (K)
Ces éléments sont identiques à ceux des engrais chimiques, qui sont souvent importés, coûteux à produire et responsables d’impacts environnementaux importants.
Cependant, dans nos systèmes actuels, cette ressource est diluée dans plusieurs litres d’eau potable puis envoyée en station d’épuration… où elle sera neutralisée.
Un non-sens écologique évident.
Une solution simple et ingénieuse : l’Uritonnoir
C’est ici que l’Uritonnoir entre en jeu. Ce petit urinoir de jardin s’installe facilement sur une botte de paille, en extérieur. Il permet de capter l’urine et de l’imprégner dans un matériau riche en carbone.
Les avantages immédiats :
- Pas d’odeur
- Aucun réseau d’assainissement nécessaire
- Zéro consommation d’eau
Ainsi, l’urine entre dans un cycle vertueux : elle amorce un processus de compostage naturel et peut ensuite fertiliser potagers, arbres et espaces verts.
Un outil low-tech au service de l’écologie du quotidien
Pensé pour le jardin, mais aussi pour des usages ponctuels lors d’événements festifs, l’Uritonnoir est rustique, robuste et efficace. Il s’inscrit parfaitement dans une démarche d’autonomie alimentaire et de gestion responsable des ressources.
Ce n’est pas un gadget.
C’est un véritable outil de jardinage, qui redonne du sens à un acte banal en transformant un “déchet” en ressource précieuse.
Où trouver l’Uritonnoir ?
L’Uritonnoir est disponible sur la boutique Ekovore, aux côtés d’autres solutions conçues pour mieux gérer les ressources, produire localement et concevoir des modes de vie plus sobres et résilients.
Et si cette saison, nous commencions simplement par valoriser ce que nous produisons déjà ?






